La réforme en question s’inscrit dans la volonté de l’Égypte de renforcer son système de santé en s’appuyant sur des partenariats internationaux, tout en maintenant l’accès aux soins pour les plus démunis.
Cette initiative qui inclut l’offre du Qatar pour gérer le nouvel Institut national du cancer à Sheikh Zayed, fait actuellement l’objet d’une étude approfondie à tous les niveaux.
Le projet vise à garantir des soins de qualité aux citoyens, tout en attirant l’expertise médicale étrangère pour moderniser des infrastructures hospitalières souvent vétustes.
Le COS a souligné que la majorité des traitements resteront gratuits pour les Égyptiens.
Concernant les inquiétudes liées au sort des employés, Madbouly a assuré qu’il ne s’agissait pas de licenciements.
Les personnels seront redéployés vers d’autres établissements, le pays souffrant d’un déficit général en ressources humaines dans le secteur médical.
SL/ac/Sf/APA