Les journaux béninois parus ce lundi traitent principalement de la 3ème place du Bénin au classement du Magazine Forbes portant sur l’amélioration du climat des affaires et les préparatifs des législatives.
La Nation indique que « le Bénin (est le) 3ème meilleur pays de l’Uemoa » dans le dernier classement du Magazine Forbes portant sur l’amélioration du climat des affaires. D’après le quotidien national, les réformes économiques mises en œuvre par le gouvernement béninois portent leurs fruits.
Fraternité mentionne qu’au cours des premières années du président Patrice Talon, le gouvernement a suivi un plan d’actions ambitieux visant à relancer le développement en investissant dans les infrastructures, l’éducation, l’agriculture et la gouvernance.
De son côté, Le Matinal renseigne que ce classement prend en compte les réformes portuaires qui ont conduit au renforcement de la sécurité dans l’enceinte portuaire et la loi sur les Partenariats Public-Privé votée en 2017 et qui vise à attirer des investissements publics étrangers. Dans le classement du Magazine Forbes, le Bénin vient juste après le Sénégal et la Côte d’Ivoire.
Se prononçant sur les législatives du 28 avril prochain, La Nation informe que les candidats ont « encore 72 heures pour le dépôt des dossiers de candidature » à la Commission électorale nationale autonome (Cena).
Pour sa part, Matin Libre fait remarquer qu’ « à trois jours du délai, aucune formation politique n’est à même de dire qu’elle est prête ». Et pour cause, renseigne ce journal, certaines pièces constitutives du dossier de candidature ne sont toujours pas disponibles.
A en croire L’Evènement Précis, « le quitus fiscal (est) la bête noire des candidats ». Poursuivant, ce journal précise que l’article 46 de la loi sur le Code électoral prévoit le dépôt d’un quitus fiscal par les candidats pour savoir s’ils s’acquittent ou non de leurs impôts.
A propos du naufrage d’une embarcation sur le fleuve Niger, La Nation révèle que « 12 corps au total ont été repêchés » samedi dernier. Fraternité ajoute que « l’Agence nationale de Protection Civile (ANPC) a volé au secours des sinistrés » avec des dons.
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