Bien que les problèmes du Conseil ouest-africain des examens(WAEC) aient suscité des inquiétudes, une critique particulière a suscité une attention particulière : les erreurs fréquentes du conseil dans les noms et les dates de naissance des élèves.
Au cours des quatre dernières années, de nombreux cas ont été révélés où WAEC a enregistré de manière incorrecte les informations des élèves dans leurs résultats. Bien qu’il ait reconnu ces erreurs, le conseil a systématiquement refusé de les rectifier, ce qui a causé des inconvénients et des difficultés considérables aux élèves concernés.
Dominic Kamar, un élève qui a passé les examens WAEC en 2023 à l’école secondaire Goshen, est un parfait exemple de ce problème. Son nom et sa date de naissance ont été enregistrés par erreur comme Mustapha et le 19 juillet 1998. Malgré des tentatives répétées pour faire corriger les erreurs, WAEC est resté catégorique dans son refus
de le faire.
Les conséquences de ces erreurs peuvent être graves, en particulier dans des pays comme la Sierra Leone où repasser les examens peut représenter un fardeau financier important. Les étudiants qui sont obligés de repasser des examens en raison d’erreurs commises par la WAEC sont confrontés à une perte de temps et à des dépenses supplémentaires, ce qui peut avoir un impact négatif sur leurs perspectives d’études et de carrière.
Il est impératif que la WAEC prenne des mesures immédiates pour résoudre ces problèmes et mette en œuvre des mesures pour empêcher que de telles erreurs ne se reproduisent à l’avenir. En corrigeant les erreurs et en améliorant ses processus, la WAEC peut restaurer la confiance du public et s’assurer que les étudiants ne soient pas injustement désavantagés par ses lacunes.
ABJ/fss/Sf/te/APA