A la confluence des fleuves Chari et Logone, des habitants de N’Djamena tentent de s’organiser face à la montée inexorable des eaux, alimentée par les pluies diluviennes qui ont fait 576 morts et 1million 900.000 sinistrés au Tchad depuis juillet.
Le dernier niveau record du Chari, à 8,14 mètres, remonte au 13 novembre 2022, alors que le pays connaissait les précipitations les plus fortes et les plus meurtrières depuis le début des années 1960, selon les données de (Ocha), le bureau de l’ONU pour les affaires humanitaires au Tchad.
FNL/AOS/SMT