Amina Bouayach la présidente du Conseil national des droits de l’Homme (CNDH) du Maroc. a été portée à la tête de l’Alliance globale des institutions nationales des droits de l’Homme (Ganhri).
Le Réseau africain des institutions nationales des droits de l’Homme (RINADH) a officiellement désigné aujourd’hui Amina Bouayach, présidente du Conseil national des droits de l’Homme (CNDH) du Maroc, à la présidence de l’Alliance globale des institutions nationales des droits de l’Homme (Ganhri).
L’annonce a été faite lors de l’Assemblée générale du Rinadh au siège de l’ONU à Genève, réaffirmant la confiance de l’Afrique dans le leadership de Bouayach.
Le Nanhri avait proposé sa nomination en janvier, citant son expérience en tant que secrétaire du Ganhri.
Le réseau l’a décrite comme une dirigeante qui a dirigé des initiatives cruciales avec une vision stratégique tout en défendant les droits de l’homme aux plus hauts niveaux internationaux.
« Elle a représenté l’alliance avec distinction et a dirigé des opérations clés avec un engagement ferme en faveur des droits de l’homme », a déclaré le Nanhri dans son communiqué officiel.
Joseph Whittal, président du Rinadh et directeur de l’institution ghanéenne des droits de l’homme, a déclaré que le bloc africain soutenait fermement la candidature de Bouayach. « Nous avons voté massivement en faveur de sa nomination », a-t-il déclaré.
Gilbert Sebihogo, directeur exécutif du Rinadh, partage le même avis. « Elle a porté la voix de l’Afrique avec intégrité. Nous lui faisons confiance pour poursuivre ce travail à la tête de la GANHRI. »
Namizata Sangaré, présidente de l’institution nationale des droits de l’homme de Côte d’Ivoire, a qualifié cette nomination d’étape naturelle. « Au sein du Nanhri, nous sommes convaincus qu’elle servira la Ganhri avec excellence », a-t-elle déclaré.
Cette forte approbation reflète la détermination de l’Afrique à jouer un rôle de premier plan dans les efforts mondiaux en faveur des droits de l’homme.
Le Nanhri considère la nomination de Bouayach comme une opportunité de consolider les valeurs fondamentales de l’alliance et d’amplifier sa voix à travers le monde.
En outre, le Maroc a mené de nombreuses initiatives au Conseil des droits de l’homme des Nations Unies au fil des ans, défendant systématiquement les droits de l’homme et les libertés civiles conformément à sa constitution.
MK/te/Sf/APA