L’accord, d’une durée de 20 ans, aurait été finalisé avec l’Union européenne (UE) à Samoa, selon des informations parvenues à APA.
Cependant, une association nommée « Nous ne nous tairons pas quand il s’agit de l’Ethiopie, sauvons la génération de l’homosexualité » a exprimé une forte opposition, affirmant que l’accord « équivaut à déclarer la mort » de la jeune génération.
Malgré la coopération économique, le document stipule que les pays signataires doivent adhérer aux critères énoncés dans la rubrique « inclusivité » comme condition de l’aide qu’ils reçoivent.
L’APA a observé l’émergence d’une pétition en ligne rassemblant des protestations contre l’inclusion d’agendas tels que l’homosexualité, le transsexualisme, l’avortement et l’éducation sexuelle universelle. Ces questions seraient dissimulées sous le couvert des droits de l’homme et d’autres expressions trompeuses dans le document signé.
Dereje Negash, fondateur et président d’une association anti-homosexualité établie en Ethiopie, a déclaré à l’APA que les membres d’un groupe identifié « ont commencé à élargir leur mouvement pour répandre l’homosexualité dans d’autres pays ».
Selon le fondateur de l’association, la position du gouvernement éthiopien sur l’homosexualité « est modérée et semble observer la propagation avec insouciance ».
Negash a également expliqué que « signer des accords en coulisses et s’engager dans des actions similaires tout en affichant son opposition devant le peuple est inapproprié ».
Selon lui, le terme « inclusif » signifie l’incorporation de l’homosexualité, du transsexualisme, de l’adultère, etc.
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