« Le gouvernement constate avec satisfaction qu’il y a un renforcement de l’engouement populaire depuis l’annonce de la révision constitutionnelle relative à notre devise. En effet, cette formule était déjà constamment usitée dans les discours officiels bien avant cette initiative de révision », a détaillé le ministre de la Justice, Rodrigue Bayala.
Les parlementaires ont aussi voté la possibilité pour le Burkina d’approuver des accords d’entrée dans une confédération, une fédération ou une union d’Etats africains par voie législative.
Selon la nouvelle Constitution, le Président du Faso possède désormais une administration spécifique.
Selon le ministre Rodrigue Bayala, le présent projet de loi constitutionnelle ne prévoit pas la création d’une nouvelle institution.
« Il s’agit plutôt de créer auprès du Président du Faso une administration spécifique chargée de l’assister dans l’exercice de ses fonctions, prérogatives et missions consacrées par la Constitution », a-t-il détaillé.
DS/te/Sf/APA