Selon le bureau de Getachew Reda, le TPLF, en tant que parti politique, ne dispose pas de forces armées.
Le gouvernement intérimaire du Tigré a réfuté catégoriquement l’allégation des Forces de soutien rapide (FSR), groupe paramilitaire en lutte contre les forces armées soudanaises depuis avril de l’année dernière pour le contrôle du pays, dans un communiqué publié mardi, la qualifiant de tentative visant à « internationaliser le conflit » pour obtenir un soutien extérieur.
Selon le bureau de Getachew Reda, le TPLF, en tant que parti politique, ne dispose pas de forces armées et ne combat pas aux côtés des forces armées soudanaises.
Le communiqué souligne que le TPLF ne commande aucune milice organisée.
En outre, il a tenté de présenter une relation positive avec le Soudan, affirmant ne pas s’impliquer dans ses affaires internes et soulignant les liens historiques entre les peuples du Tigré et du Soudan.
Cependant, des informations ont indiqué que des membres du TPLF auraient trouvé refuge au Soudan, tandis que les forces de défense éthiopiennes ont signalé la présence de forces armées du TPLF dans la région.
Malgré cela, le TPLF aurait étendu son contrôle sur certaines zones et aurait formé une alliance avec Addis-Abeba.
MG/abj/lb/ac/APA