A compter de ce mercredi, le prix du litre est fixé à un peu plus d’un dollar par l’Autorité de régulation de l’énergie et du pétrole (EPRA, sigle en anglais).
L’instabilité des prix sur le marché mondial est invoquée Pour justifier cette hausse. Des facteurs endogènes comme l’augmentation de la taxation des produits pétroliers et des tarifs de transport, surtout autour de la capitale Nairobi, sont aussi convoqués.
Pourtant, le gouvernement a accordé une subvention aux revendeurs agréés de carburant afin de stabiliser les prix. Globalement, le coût de la vie qui a explosé est mal vécu par une bonne frange de la population kenyane.
Les consommateurs entendent agir pour pousser les autorités à diminuer les prix du carburant. Sur les médias sociaux, un citoyen opte pour le blocage des routes là où un autre réclame tout simplement la démission du président Uhuru Kenyatta.
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