Les représentants du continent africain à la finale internationale de « Ma Thèse en 180 secondes » se sont bien illustrés.
Jeudi 6 octobre, Montréal a accueilli la finale internationale de « Ma Thèse en 180 secondes », organisée par l’Association canadienne française pour l’avancement des sciences (ACFAS). L’édition de cette année a enregistré la participation de candidats venus de 20 pays francophones et francophiles.
A l’issue de cette compétition dont la première édition s’est tenue en 2014 à Montréal, l’Afrique qui a été représentée par 13 candidats s’en est bien sortie en gagnant trois prix.
Le premier prix du jury a été décerné à la Sénégalaise Mané Seck. L’étudiante, doctorante à l’Université Gaston Berger de Saint-Louis a présenté en trois minutes sa thèse intitulée « élaboration et caractérisation de nanomatériaux à base de gommes arabiques et amandier : orientation vers la green electronics ».
« Je félicite Mané Seck sacrée au concours « Ma thèse en 180 secondes » organisée au Québec. Je suis fier de cette belle consécration et félicite l’Université Gaston Berger de Saint-Louis dont la lauréate est pensionnaire », a réagi sur Twitter le chef de l’Etat sénégalais, Macky Sall.
La Malgache, Mamy Henintsoa Randrianjatovonarivo de l’Université d’Antananarivo Ambohitsaina a reçu le 3e prix en arrivant derrière Sophie Rivara de l’école polytechnique fédérale de Lausanne.
Le prix du public a été remis à la Marocaine Kenfaoui de l’Université Sidi Mohamed ben Abdellah de Fès pour sa thèse « « Prospection et diagnostic de l’état phytosanitaire de la vigne au Maroc et élaboration de méthodes de lutte alternatives ».
AC/APA