Dans la vie d’un entrepreneur, l’échec fait partie intégrante, selon Jot Harten, Directeur général de la Fondation Friedrich Naumann pour l’Afrique de l’Ouest.
« Le monde n’a pas été construit en une journée. Beaucoup d’entrepreneurs ont des échecs, mais cela ne les empêche pas de poursuivre l’aventure. L’autre chose, c’est que dans la société sénégalaise, on parle rarement d’échec. Pourtant, l’échec est une partie normale de la vie d’un entrepreneur », a notamment dit M. Harten dans son discours dont APA a obtenu copie.
Il intervenait lors de 13ème édition des « Dakar Fuckup Nights » organisés par la Fondation Friedrich Naumann pour la liberté, en collaboration avec l’Université Catholique de l’Afrique de l’Ouest (UCAO).
Au cours de cette soirée, quatre entrepreneurs ont pu partager leurs succès et leurs échecs avec le public. Les échanges ont permis de tirer des leçons et d’apporter des solutions aux événements futurs. C’était aussi l’occasion pour les uns et les autres d’apprendre davantage sur l’écosystème entrepreunarial.
Pour Valéry Traoré, Directrice de Nyel, « cela fait 12 ans que je suis dans l’entrepreneuriat. Je peux dire que ce pari est réussi, même si j’ai connu des échecs dans le passé. Il y a beaucoup d’embûche sur le chemin ».
TE/APA