Le pays d’Afrique occidentale ambitionne de devenir un pionnier des soins palliatifs dans la sous-région en mettant en place une série de mécanismes.
Le ministre de la Santé, le professeur Benjamin Hounkpatin a procédé, le 7 octobre, au lancement des travaux marquant le premier congrès des soins palliatifs au Benin.
Ce pays s’illustre comme pionnier des soins palliatifs dans la sous-région en mettant en place une série de mécanismes qui favorisent son effectivité. À travers ce premier congrès, le gouvernement béninois entend booster la mise en œuvre du plan quinquennal 2022-2026 des soins palliatifs.
Au cours de cette assise qui a réuni toutes les composantes de la société, les congressistes ont manifesté leur engagement à œuvrer aux côtés du gouvernement pour la promotion des soins palliatifs au Bénin. Selon les statistiques, plus de 62.000 personnes sont dans le besoin des soins palliatifs au Bénin chaque année du fait du cancer, du Vih-Sida et d’autres maladies chroniques.
Au cours de son intervention, le ministre de la Santé a souligné l’évidence de la menace au regard de la prévalence de plus en plus élevée des cancers, des affections cardiovasculaires, des maladies respiratoires chroniques et des anomalies génétiques ou congénitales. Pour contrer cette menace, le chef du département de la santé a fait part d’une série de mesures mises en œuvre par le gouvernement et qui tendent à relever le défi des soins palliatifs à tous les niveaux.
Le thème retenu pour ce premier congrès est : « Soins palliatifs, couverture sanitaire universelle et développement ».
TE/APA