La célébration des 30 ans de la Conférence nationale des Forces vives de la nation de 1990 est le sujet principal traité par les quotidiens béninois reçus ce mercredi à APA.
« 19 février 1990-19 février 2020 : Il y a 30 ans, la Conférence nationale », titre le quotidien national La Nation titre.
A en croire le journal, « c’est dans l’après-midi du 19 février 1990 que la Conférence des Forces vives de la nation sur fond de suspense, mue par un esprit, une aspiration que portait la population dans sa quasi-totalité démarrait. Même parmi les proches du chantre de la Révolution, d’aucuns nourrissaient en silence cette aspiration qu’est la démocratie ».
Il fait, dans un dossier spécial dédié à ce sujet, un « retour sur les 10 jours qui ont tout changé pour le Bénin, le mémorable discours du feu président Mathieu Kérékou et la déclaration sur les objectifs des assises ».
Le Matinal aborde la même information, sous ce titre : « Les 30 ans de la conférence nationale ».
« Ces assises, expliquent nos confrères, qui avaient regroupé les principaux acteurs de la vie politique, sociale et économique de toute obédience avaient pour objectif de proposer un nouveau modèle politique qui cadre avec le Programme d’ajustement structurel ».
L’Evènement Précis va à la rencontre d’un témoin de cette histoire du Bénin et note : « Constant Agbidinoukoun, journaliste-reporter de la télévision nationale fait des révélations sur la conférence nationale ».
Ce témoin se prononce, dans un entretien à bâtons rompus, sur les temps forts de la Conférence nationale des Forces vives de la nation, ainsi que sur l’état des lieux de cet événement historique, 30 ans après, et son appréciation de la mise en œuvre des différentes recommandations et résolutions prises à ces assises nationales.
De son côté, La Presse du Jour relève qu’ « au-delà d’une assise nationale, la Conférence des Forces vives de la nation est l’emblème du patriotisme ».
UB/te/APA