Les quotidiens burkinabè de ce vendredi évoquent l’actualité internationale marquée par l’interpellation, la veille à Paris, du président de la Confédération africaine de football (CAF), le Malgache Ahmad Ahmad, sans oublier le démarrage des épreuves écrites de la session 2019 du Brevet d’études du premier cycle (BEPC).
«BEPC 2019: Le ministre Ouaro galvanise les candidats», arbore le quotidien à capitaux publics Sidwaya, informant aussi que pour cette session, ils sont 304 096 candidats soit 52% de filles et 48% de garçons sur l’ensemble du territoire national à prendre part aux épreuves du BEPC.
Le journal rapporte que c’est le ministre de l’Education nationale, de l’Alphabétisation et de la Promotion des langues nationales, Pr Stanislas Ouaro qui a donné le top départ de la session 2019 du BEPC, hier jeudi, au lycée provincial Dimdolobsom de Boussé, dans le Plateau central.
De son côté, le quotidien privé Le Pays affiche : «Examens scolaires session 2019 : 304096 candidats à l’assaut du BEPC».
Pendant ce temps, Aujourd’hui au Faso, autre quotidien privé, fait observer que pour la session des examens scolaires 2019, ce sont au total «316 124 candidats (qui vont) à l’assaut du BEPC, CAP et BEP».
Le journal Le Pays relate qu’un convoi transportant du matériel pour l’examen du BEPC a été attaqué dans la région de l’est, avant de mentionner que grâce à la riposte des Forces de défense et de sécurité (FDS), les assaillants ont été repoussés «avec grand succès».
C’est à juste titre que le confrère, dans sa ‘’Chronique du fou’’, estime qu’il convient de «relever à tout prix le défi sécuritaire » pour les examens scolaires 2019.
En sport, le journal informe que le président de la Confédération africaine de football (CAF), le Malgache Ahmad Ahmad, a été interpellé, hier jeudi à Paris.
A ce propos, Aujourd’hui au Faso, titre : «Arrestation d’Ahmad Ahmad à Paris: Dérives autoritaires, contrats juteux… le patron de la CAF sent le soufre».
Selon l’éditorialiste, le Malgache qui était dans la capitale française à l’occasion du congrès de la FIFA a été entendu par les services de l’Office central de lutte contre la corruption et les infractions financières et fiscales.
«Un contrat de sponsoring rompu par la CAF serait la cause », croit savoir Aujourd’hui au Faso, avant de préciser qu’«à quelques jours de l’ouverture de la Coupe d’Afrique des nations, le football africain s’en serait bien passé».
ALK/cat/APA