OCP Africa a été couronnée en Tanzanie lors du concours, décrochant trois prestigieuses distinctions : Meilleure entreprise d’engrais, Meilleur stand et exposant, ainsi que Meilleur participant aux programmes gouvernementaux.
La Journée mondiale des engrais, célébrée le 13 octobre, est l’occasion du concours remporté par OCP Africa. Elle commémore une avancée scientifique majeure : la récupération de l’azote atmosphérique. Le brevet Haber-Bosch de 1908, portant sur la synthèse de l’ammoniac à partir de l’air, a jeté les bases de l’industrie moderne des engrais. Grâce à cette invention, des milliards de vies ont été épargnées de la famine.
Lors des récentes célébrations en Tanzanie, à l’occasion de cette journée mondiale, OCP Africa s’est distinguée en remportant le titre de meilleure entreprise d’engrais dans le pays, selon une déclaration publiée sur LinkedIn par l’entreprise.
En outre, elle a été primée pour son meilleur stand d’exposition et son rôle dans les programmes gouvernementaux. L’événement, qui s’est déroulé dans la région de Manyara, du 10 au 13 octobre, a permis de saluer les contributions significatives d’OCP Africa au développement du secteur agricole ainsi que son engagement en faveur de pratiques agricoles efficaces au bénéfice des agriculteurs locaux.
Filiale du Groupe OCP, leader mondial de la nutrition des plantes et principal producteur d’engrais à base de phosphate, OCP Africa œuvre au développement de l’agriculture sur le continent africain. Présente dans plus de 35 pays, avec 12 filiales et un personnel de 17 nationalités, OCP Africa incarne la diversité culturelle africaine.
L’approche écosystémique adoptée par OCP Africa, qui met toujours au premier plan les petits exploitants agricoles, constitue le socle de son action.
Les engrais jouent un rôle fondamental dans la satisfaction des besoins alimentaires mondiaux et dans la promotion d’une agriculture durable. En fournissant aux cultures des nutriments essentiels et en augmentant les rendements, ils représentent 50 % de la production alimentaire mondiale. Depuis 1961, sans les gains de productivité permis par leur utilisation, il aurait fallu un milliard d’hectares supplémentaires de terres arables pour répondre aux besoins actuels en production alimentaire.
RT/Sf/te/APA