Dans le sillage du programme de lutte contre la tuberculose qui a permis de traiter la majorité des patients, en passant par l’Intelligence artificielle, le Fonds mondial finance la lutte contre le VIH, la tuberculose et le paludisme.
Le Kenya et le Fonds mondial ont signé une subvention d’un peu plus de 400 millions de dollars pour lutter contre le VIH, la tuberculose et le paludisme.
Les subventions précédentes ont permis d’obtenir des résultats significatifs, notamment une baisse de la prévalence du paludisme de 8 % en 2015 à 6 % en 2023, grâce à la distribution massive de moustiquaires et à des mesures de traitement rapide.
Selon le communiqué distribué par le groupe APO au nom du ministère de la Santé du Kenya, le programme de lutte contre la tuberculose a permis de traiter avec succès plus de 85 % des 264 856 patients, grâce à des innovations telles que le dépistage amélioré par l’Intelligence artificielle et les services communautaires.
S’exprimant lors de la signature de la subvention à Nairobi, la secrétaire principale du ministère de la Santé publique et des Normes professionnelles, Mary Muthoni, a réitéré l’engagement du gouvernement à consolider les acquis grâce à des partenariats et des approches innovantes basées sur la communauté.
GIK/lb/ac/Sf/APA