Initialement prévue le 8 mars, la célébration de la Journée Internationale des Droits de la Femme (JIF 2024) a été décalée à la demande de l’ONU, qui a convié tous les États à commémorer cet événement à son siège à New-York, en marge de la 68ème Commission de la condition de la femme.
La célébration officielle de la Journée Internationale des Droits de la Femme (JIF 2024) se tiendra ce jeudi 11 avril 2024, à Songon Dagbê, à l’Ouest du District d´Abidjan, renseigne une note du ministère ivoirien de la Femme, de la famille et de l’enfant.
Placée, sous le parrainage de la Première dame de Côte d’Ivoire, Dominique Ouattara, la cérémonie se déroulera en présence du Premier ministre, ministre des Sports et du cadre de vie, Robert Beugré Mambé,
Cette 47ème édition de la Journée Internationale des Droits de la Femme promet de rassembler environ 3.000 femmes au stade de Songon Dagbê pour partager ces moments forts aux côtés de la Première dame.
Le thème retenu pour cette édition, « Investir en faveur des femmes : accélérer le rythme », met en lumière la nécessité de combattre la pauvreté afin de réduire les inégalités de revenus entre les hommes et les femmes.
Il vise également à lever les barrières d’accès des femmes aux ressources et opportunités, ainsi qu’à promouvoir des institutions inclusives et un financement accru pour une plus grande égalité des chances.
Le ministère de la Femme entend, par ailleurs, apporter une attention particulière sur les investissements en faveur de l’égalité des sexes et un soutien aux mécanismes nationaux visant à renforcer l’influence des femmes dans les prises de décision.
Lors de la commémoration de la JIF 2024, à New-York sous la coupole des Nations Unies, une délégation ivoirienne dirigée par la ministre de la Femme, de la famille et de l’enfant, Mme Nassénéba Touré, avait participé à cette rencontre annuelle de l’organisation du 11 au 22 mars 2024.
La Côte d’Ivoire, sous le leadership du président Alassane Ouattara, a été élue à la vice-présidence du Bureau exécutif de ONU-Femmes pour un mandat d’un an, marquant ainsi l’engagement du pays en faveur de l’autonomisation des femmes et de l’égalité des sexes.
AP/APA