La ministre de l’Éducation nationale et de l’alphabétisation, Mariatou Koné, a procédé ce mercredi 04 octobre 2023, à la mise en ligne du rapport des États généraux de l’Éducation nationale et de l’alphabétisation.
La direction des examens et concours (DECO), sise au Plateau, le centre des Affaires d’Abidjan, a servi de cadre pour la cérémonie de mise en ligne du rapport des États généraux de l’Éducation nationale et de l’alphabétisation.
L’événement s’est tenu en présence de représentants nationaux et internationaux du secteur de l’éducation. La ministre a fait savoir que l’objectif de ces états généraux est de rendre l’école ivoirienne plus performante avec des ressources humaines de qualité afin de soutenir le développement du pays.
Mariatou Koné a indiqué que cette cérémonie vise à assurer que les résultats des états généraux de l’éducation et de l’alphabétisation, issus des contributions diverses de la communauté éducative, sont accessibles à l’ensemble de la population.
Les actes des États généraux de l’éducation nationale et de l’alphabétisation (ÉGÉNA) ont été remis au Premier ministre Patrick Achi, le mercredi 7 septembre 2022, au cours d’une cérémonie à la Primature. La diffusion des résultats, elle, a été adoptée par le gouvernement le 3 mai 2023.
« Après l’adoption des recommandations par le gouvernement en Conseil des ministres, le 3 mai dernier, il était de notre devoir de rendre public et accessible à tous, le fruit de ce travail collectif (https://www.education.gouv.ci/index.php/Flash/details/16)», a déclaré la ministre Mariatou Koné.
Selon elle, « c’est un devoir et gage de transparence, parce que nous sommes tous unis et engagés sur la base du contrat social, à travailler dans le sens de la formation des ressources humaines de qualité, dont l’école devra constituer un excellent pilier ».
C’est le 19 juillet 2021 que la Côte d’Ivoire, sur l’initiative du Pr Mariatou Koné a procédé aux lancement des Etats généraux de l’éducation nationale et de l’alphabétisation. D’où, leur mise en œuvre au cours des trois prochaines années nécessitera plus de 800 milliards de FCFA.
AP/APA